Potosi, et le Cerro Rico, "Colline riche"...
Pendant des siècles, on extrait l'argent de ses mines, pour l' exporter en Europe...
"Condition sine qua non de la naissance du capitalisme".
Aujourd´hui encore des mineurs travaillent dans les galeries du Cerro Rico. Pour quelques bolivianos. Et dans de rudes conditions. Plusieurs agences en ville proposent une visite des mines, mais l'idée ne nous a pas tentés...
"Condition sine qua non de la naissance du capitalisme".
Aujourd´hui encore des mineurs travaillent dans les galeries du Cerro Rico. Pour quelques bolivianos. Et dans de rudes conditions. Plusieurs agences en ville proposent une visite des mines, mais l'idée ne nous a pas tentés...
Mineur du Cerro Rico
(Photo extraite d'un bouquin retraçant l'histoire de l'exploitation des mines à Potosi).
"Tengo 67 años, he trabajado en interior mina 15 años.
Y mi jubilacion cuando ?" (jubilacion : retraite)
Clin d'oeil aux manifestations de ce 12 octobre...
Ruelle de Potosi
Ecoliers et maïs soufflé.
Dans la capitale du charango, la musique nous rattrape.
Le temps d'un concert au Théâtre Belen...
Deux heures auparavant, un restaurateur passionné de notes folkloriques avait griffonné pour nous le nom de quelques groupes: Kjarkas, compositeurs de la Lambada (!!), K'alamarka, (ou peut-être Kollamarka...) déjà croisés dans l'intimité d'une scène à La Paz, et Los Masis, que nous devions découvrir plus tard lors d'un festival à Sucre...
Le temps d'un concert au Théâtre Belen...
Deux heures auparavant, un restaurateur passionné de notes folkloriques avait griffonné pour nous le nom de quelques groupes: Kjarkas, compositeurs de la Lambada (!!), K'alamarka, (ou peut-être Kollamarka...) déjà croisés dans l'intimité d'une scène à La Paz, et Los Masis, que nous devions découvrir plus tard lors d'un festival à Sucre...
Sucre, la cité blanche...
Autoproclamée capitale de Bolivie.
Douceur du climat, altitude bien moindre que les hauteurs côtoyées jusqu'alors : 2790m.
On y trouve tout de même des palmiers...
En quête de notre auberge, à "dos cuadras" de la place centrale...
Le bureau des impôts... sur le trottoir !
Mercado central,
et ses multiples variétés de pommes de terre.
Carnet de bord en construction...
dans un café surplombant les toits de Sucre.
Marché de Tarabuco,
à quelque 60 kilomètres de Sucre.
Vendeur de feuilles de coca.
Nous dénichons ici des semences de maïs blanc et noir, à adapter aux basses altitudes de nos contrées... Cela nous en coûte 1,50 bolivianos, soit 0,15 euro... Les marchands sont amusés que l'on s'essaie à cette expérience agricole, avec une mince poignée de grains tirée de leur grand sac.
Enfin en ce 11 octobre, journée de la femme en Bolivie,
un bel anniversaire à Auré...
"Une affiche qui laisse joliement songeurs, en souvenir d'un projet mené ensemble autour du Cirque de Charlie Chaplin. Pour toi, depuis les Andes. Jue."
Nous filons mardi vers Tarija, et ses doux vins de La Concepción, en bus de nuit depuis Sucre.
Gaby y su mamá nous attendent dans leur vignoble, avec le réel souci de nous faire apprécier leur terre. Un sentiment qui transparaît dans les messages échangés...Des bisettes des "trotamundos".
A très bientôt !
Ce qui m'étonne toujours dans vos photos, ce sont les couleurs ! Quelle splendeur. Une toile, même de maître, ne peut rivaliser.
RépondreSupprimerEt en ce jour du 12 octobre, je n'ai pas fait la grève ! Honneur au mineur bolivien...
Tendresse, Philtine
J'allais dire la même chose!
RépondreSupprimerCa sent le Photoshop tout ça! ;-)
Je plaisante bien entendu, vos photos sont splendides et d'une netteté incroyable. Cela participe grandement à nos sensations d'évasion en les regardant.
Continuez comme ça!
Xouv
Merci mamoune Martine et Xouv ! C'est qu'ici la lumière est bien jolie. Et puis il faut le dire, on tire la langue à chaque photo ; )... Bises !
RépondreSupprimercoucou mes voyageurs préférés...
RépondreSupprimerJe vois que votre aventure est toujours aussi lumineuse et que vous rapportez dans vos sacs à dos des merveilles et des graines en tout genre qui j'espère s'adapteront au microclimat du baradozic!!! Ces graines qui vont germer sont aussi le symbôle de la créativité et la création de tas de choses surprenantes de retour sur nos contrées!!! En attendant, savourez chaque instant et continuer à faire vos reporters pour géo et tous ceux qui vous aiment et vous suivent par le coeur et la pensée!!!
bisous sucrés
chrissou
Merci mamselle ! Tu es invitée à semer ces graines avec nous... dès notre retour. bises...
RépondreSupprimerHola trotamundos!!!!
RépondreSupprimerComo estan?
Muy bien no??
Merci pour vos recits, vos photos magnifiques qui me font voyager et m'évader du quotidien.
Ca me ferait pas mal de prendre le large aussi?
Je ressens une complete plenitude de vos rencontres, parcours et travaux non forcés, la future villa baradozic va etre un palais!!!!
Pleins de gros bisous a vs deux
Pij
vous avez eu de la chance de voir cette montagne, elle ne sera peut être plus là dans quelques années. Suite à la surexploitations des mines d'argent, elle menace de s'écrouler
RépondreSupprimerhttp://www.goodplanet.info/Contenu/Depeche/Bolivie-la-montagne-du-Cerro-Rico-menace-de-s-ecrouler/(theme)/1447
On continue à vous suivre avec le plus grand intérêt, à très bientôt
Maxime