Patacamaya, une étape sur la route de Sajama...
Deux heures de bus pour rejoindre cette petite cité de l'Altiplano.Traversée de l'Alto, au départ de La Paz : les quartiers pauvres des hauteurs, à 4000m.
Humita : pâte de maïs cuit, et fromage. Marché, Patacamaya.
Une idée de recette, à savourer bientôt, sur un coin de terre baradozicienne.
Si les papilles vous en disent...
Le chauffeur charge nos sacs sur le toit. Quelques heures plus tard, l'un deux, mal fixé, dégringole en pleine course. Légère frayeur et demi-tour rapide. Une égratignure relevée sur la poche latérale, et vite recousue...
Quatre heures pour gagner Sajama, à petite allure.
Dans le minibus devant nous, une bolivienne tressée, coiffée d'un chapeau. Croquée.
"En el bus para Sajama", Sébastien.
Notre bout du monde. Là où l'on s'emmène.
Le froid nous saisit.
Le gardien du parc nous conduit chez l'une des 14 familles accueillant tour à tour les voyageurs dans le village de Sajama.
Un cabanon au toit de tôle, du linge séchant dans la cour, une brouette, un vélo, un paillasson de pneus...
Cette nuit, l'eau a gelé.
L'habitation de nos hôtes, et notre petite chambre, adjacente. Charmés.
La steppe tout autour. A laquelle s'ajoute une immensité verticale : les volcans...
Volcans Payachatas, pics "jumeaux"...
Une randonnée de 7 à 8 heures au coeur d'un espace infini.
Aucun arbre ne peut nous protéger du soleil... De l'eau dans nos sombreros.
Aucun arbre ne peut nous protéger du soleil... De l'eau dans nos sombreros.
Bouillons, premier essai vidéo...
L'eau bouillonne et bourdonne. Mais ne s'élève pas à plus de 30 cm...
Nos pas sillonnent prudemment.
Sous la croûte terrestre, le magma...
Aguas termales...
Plongée dans des eaux à 35 degrés.
Plongée dans des eaux à 35 degrés.
Dernière étape d'une virée dans ce bout du monde.
Un air de farces se joue ici...
Un air de farces se joue ici...
En 2001, l'équipe des villageois de Sajama rencontrait sur le plus haut terrain du monde, celle formée de guides de La Paz...
Il est dit que ce jour, tous ont gagné.
Laine de vigogne, l'or des Andes...
Quand la finesse du geste métamorphose une petite masse de laine en un fil bien calibré.
2 ou 3 personnes travaillent ici chaque jour aux sources chaudes, à l'entretien des lieux.
Micaela est l'une d'elles.
Nous nous sommes depuis peu engouffrés dans les rues colorées de Potosi.
Nous découvrons là un nouveau visage de la Bolivie.
Dans quelques jours, nous rallierons Sucre.
Des bises à tous,
ciao !
Jue et Seb
Un petit coucou des Charnaysiens, au américains. Continuez à nous éblouir, et profitez bien !!
RépondreSupprimerTrès sympa le dessin de la dame dans le autocar ! On vous fait de gros gros bisous.
Florent, morgane et les lapins.
Depuis 15 jours nous avons suivi en direct de Toulon vos aventures sud américaines.
RépondreSupprimerC'est pas du jeu, l'eau est plus chaude qu'à Plounéour !
Ce soir nous faisons nos valises pour le retour en Bretagne.
Nous vous souhaitons une bonne continuation pour votre périple.
Gros bisous.
Pépé et Mémé
Quel bonheur d'ouvrir ses volets sur un tel spectacle ! On vous envie !
RépondreSupprimerBises
aurélie & co